1. |
Le Triomphe du Charnier
02:53
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2. |
Diptera
05:38
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Sous la peau invisible
D'un ciel abandonné
L'éduqué du néant
Entrelace les vertèbres
Liquéfie L'estomac
Ronge la moelle de l'innocence
Les yeux fixés aux étoiles
En attente du trépas
L'hôte se flétrit à l'ombre du bourreau
Sous une lune incendiée
La terre se soulève
Des souffrances inconnues
Travestissent la pensée
Le regard assombri
Les membres se noircissent
Une autre âme sur le chemin de l'inexhistoire
Les visions accentuées
D'un brasier au cœur de l'humanité
Identité usurpée
La peur d'être dévoré vivant
Comme l'enfant dans les bras l'anthropophage
Sous la robe de minuit
Naissent tous les actes impardonnables
Le constat de l'inévitable
Ressert le nœud à la gorge
Laisse aller ce corps
On ne lui veut que du mal
Les facultés affaiblies
La conscience putréfiée
Le châtiment de l'éveil
D'un océan malade
Oh cœur gavé
Ne promet rien à demain
Les dorures de son portail
N'allégera pas ta charge
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3. |
Le Passager Invisible
05:34
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Langue amère
Exposes les viscères du chacal sans tête
Trouves les restes de l'enfant oublié
Le visage tordu de la vérité
Le ciel attend son chant d'éternité
Les fragments du passé dévorent le présent
La certitude voilée par la prémonition
Labyrinthe pernicieux
Carcan solitaire
Des limbes au portail de la haine
Le goudron aux lèvres
Les artères durcissent
L'épée traverse chaque fibres avec aise
Le passager invisible gagne sur l'âme affaiblie
L'horizon tremble à la venue de demain
Corps malade tu n'es plus digne d'intérêts
Monture, ton cavalier est mourant
Monture, ton cavalier est mourant
Laisse les ailes de la mort te conduire au ravin
Monture, ton cavalier est mourant
Tu reconnaitras ton roi à ses mille visages
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4. |
Hilkhot Avodat Kokhavim
08:22
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Cancer de l'univers
La prière du mercenaire
Le fratricide justifié par l'ignare
La culpabilité en guise de moteur
Millénaires de savoir incapacité
Par la normalisation du tourment perpétuel
Les rues gémissent à l'ombre des grattes ciels
Vieux monde tu ne peux plus croire ton aurore
Sa venue n'éclaircit que de fausses idoles
Sous leurs regards tes fils sont damnés
Forcés à adorer ce qui causera leur perte
300 loups en eaux troubles
Sont saignés à blanc
Nos puits son tintés par calvaire
D'aucun corps céleste, ni reliques
Ne naîtra notre rédemption
Confinés, sans guides
Dans les entrailles d'un tyran
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